Si les techniques « mouche » sont assez variées pour s’adapter aux conditions de pêche rencontrées, bien malin celui qui va savoir à l’avance le niveau de l’eau et sa turbidité pour l’ouverture ! De nombreux « moucheurs » devant des eaux « fortes » de début de saison changent de techniques ou, pire, ils rentrent directement à la maison ! Il existe pourtant certaines techniques « mouche » qui permettent de prendre des truites par eaux « fortes », comme, par exemple, la nymphe.

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Le vairon à dandiner est essentiellement une pêche de poste. On « dépose » son vairon sur un poste encombré, là où les autres pêcheurs ont bien du mal à faire évoluer une monture « classique ».

Le célèbre Léon Foch disait vers le milieu du siècle dernier, qu’en période d’ouverture, le ver était le meilleur appât. Meilleur même que l’asticot, alors autorisé un peu partout en France et surtout dans les Pyrénées. Et pourtant, ce pyrénéen était un asticotier invétéré ! Il évoquait les eaux froides du début de saison en louant au ver ses vertus de larve naturelle « figurant au menu de Dame Truite », comme il se plaisait à dire, alors que l’asticot faisait figure d’intrus.

A moins d’être devin, bien malin celui qui sait qu’elles seront les conditions hydrauliques et météorologiques que l’on va rencontrer en ce début de saison « truite » 2021 ! Mais, en faisant une sélection « ciblée » et restreinte de poissons nageurs pour ce début de saison, le pêcheur peut tirer son « épingle du jeu » quelles que soient les conditions de pêche rencontrées.

Dans les pays nordiques, rien de plus normal que de pêcher les carnassiers aves des esches marines et, plus particulièrement, le brochet. En France, on emploie le plus souvent gardons ou ablettes, à juste titre d’ailleurs. Mais, face à des sandres « surpêches » ou du moins très « tatillons », changer radicalement d’esches est souvent la bonne méthode pour prendre ces percidés éduqués. Pour ce faire, voici une solution : la sardine, qui est une esche de premier ordre pour pêcher le sandre !

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Depuis la nuit des temps, les pêcheurs au toc font une fixation sur la plombée. Certes, le succès de la partie de pêche est corrélé à la bonne présentation de l’appât qui est due en partie au nombre de plombs, à leur grosseur et à leur disposition sur le bas de ligne.

N’en déplaise à certains, la cuillère vaironnée n’est pas un leurre de « deuxième zone ». Au contraire, je pense sincèrement que la cuillère vaironnée est une pêche moderne, et surtout technique. De plus, si on l’associe à un leurre souple dernière génération, ce tandem a de quoi séduire le plus exigeant des pêcheurs.

Le Carolina est une technique très efficace et facile à mettre en œuvre. Mais, avec ce type de montage simple, tous les composants doivent être choisis avec soin, pour présenter au mieux son leurre souple. Dans cet article, Jacques Lorca nous propose de revoir les fondamentaux du montage Carolina.